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Le Petit Blond de la Casbah : soutenir le lancement d’un film avec une action de Relations Presse ciblée

En novembre dernier, nous avons relevé le défi d’accompagner la sortie de l’excellent film d’Alexandre Arcady, Le Petit Blond de la Casbah. Retraçant l’enfance du réalisateur dans l’Algérie des années 60, ce long-métrage nous plonge dans les souvenirs d’un petit garçon, avec ses moments de bonheur, de rires et de larmes.  



L’histoire d’un retour aux sources. 

Avec une filmographie qui comprend plus d’une dizaine d’œuvres, telles que « Le Grand Carnaval » ou « Ce que le jour doit à la nuit, » Alexandre Arcady est un réalisateur français émérite. En 2004, il publie un livre autobiographique intitulé « Le Petit Blond de la Casbah » une histoire empreinte de tendresse qu’il a choisi d’adapter en long métrage près de 20 ans après sa publication. L’idée de cette adaptation a germé pendant le confinement, “lorsque le silence de la ville l’a ramené aux sons de son enfance”.

« Le Petit Blond de la Casbah » retrace l’histoire d’un réalisateur de cinéma revenant à Alger avec son fils pour présenter son nouveau film, qui raconte l’histoire de sa famille dans l’Algérie des années 60. En se promenant dans sa ville natale et à travers les souvenirs d’un petit garçon pas tout à fait comme les autres, le cinéaste nous plonge dans un univers touchant qui ressuscite une galerie de portraits hauts en couleurs.

Bien qu’initialement réticent à adapter cet ouvrage, le réalisateur confie n’avoir jamais cessé de s’interroger sur la terre de ses origines, depuis le départ du paquebot qui l’a emmené loin d’Alger, une scène évoquée dans son premier film, « Le Coup de Sirocco« . Ainsi est née cette adaptation de son roman.


Un récit axé sur le vivre ensemble et la fraternité. 

L’histoire du “Petit Blond de la Casbah” reflète aussi l’attachement profond d’Alexandre Arcady pour l’Algérie des années 60. Cela débute par le choix du titre du film, qui fait référence à une anecdote de l’enfance du réalisateur à l’âge de 10 ans. Alors qu’il jouait dans les rues avec ses amis, des touristes l’ont photographié, lui, le seul blond aux yeux bleus du groupe. Ce souvenir lui rappelle l’humiliation ressentie en constatant sa différence, même s’il se sentait parfaitement bien intégré dans ce pays.

Un sentiment humaniste que le réalisateur souhaite transmettre à travers son film et qui a perduré jusqu’à la guerre civile. Au-delà de ce conflit qui a déchiré les populations, le réalisateur veut raviver le lien qui les unissait, cet état à partir duquel les cultures se sont enrichies de pratiques et de festivités communes. « Le Petit Blond de la Casbah » incarne ainsi la transmission de cette mémoire commune, portée avec cœur lors des différentes avant-premières du film. 


Plus de 110 parutions presse en moins de 2 mois !

Dans le cadre de notre accompagnement “Relations Presse”, nous avons orchestré des actions auprès des médias et avons organisé des interviews dans 9 villes où avaient lieu des avant-premières du film : Lille, Toulon, Les Pennes Mirabeaux, Lyon, Sète, Deauville, Perpignan, Béziers et Grenoble. L’objectif était de partir à la rencontre des cinéphiles de ces territoires pour aller au plus proche du public.

En 1 mois ½ d’accompagnement, nous avons décroché 111 retombées médiatiques dans des médias print, web, radio, TV. Parmi les apparitions marquantes, nous pouvons citer  RTL2, France 3 Occitanie, Var-Matin, La Voix du Nord, Nord Eclair, Chérie FM, Midi Libre, France Bleu, La Provence, L’Indépendant, Le Pays d’Auge, Le Progrès, NRJ, … 

Au total, 240 millions de personnes ont été touchées par ces parutions. C’était une grande première pour les équipes de l’agence de travailler sur les actions presse d’un film. Un projet “coup de coeur” comme nous aimons les accompagner.

Pour en savoir plus : Voir la bande-annonce 



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